Les origines
De ses origines grecques « kinesis » mouvement et « logos » parole, la kinésiologie donne la parole au corps. C’est l’étude du corps et du mouvement.
Méthode d’accompagnement douce, non médicale, elle utilise la mémoire du corps (ou mémoire cellulaire). Inspirée de diverses pratiques, au croisement de méthodes occidentales modernes et des fondements de la médecine chinoise traditionnelle, la kinésiologie vise à rétablir un équilibre global du corps en prenant en compte toutes les dimensions d’un individu : la structure, le mental, l’émotionnel, le bio-chimique et l’énergétique.
« Ce qui ne s’exprime pas s’imprime »
Intelligence du corps : notre carte mémoire
Depuis notre arrivée au monde, nous nous sommes construits portant nos bagages héréditaires, modelés ensuite par nos propres expériences de vie : mélange d’innée et d’acquis.
A l’image d’un système informatique, notre corps mémorise et engramme absolument tout. Il enregistre et crée un nombre infini de programmes qui constitue notre carte mémoire : ce que nous sommes aujourd’hui. Tout au long de notre vie, nous alimentons cette carte qui enregistre ou modifie nos fichiers.
Entre corps, mental, émotions
Le corps est intimement lié à notre mental et nos émotions, une faille chez l’un et c’est l’ensemble du système qui est impacté. Notre équilibre et notre bien-être repose ainsi sur une circulation constante et régulière de cette énergie vitale.
Au quotidien, nous sommes tous capable de gérer et réguler un certain niveau de stress face aux facteurs extérieurs que nous rencontrons, c’est ce que l’on appelle l’homéostasie (équilibre interne/externe du corps). Dès lors que ce stress devient trop intense ou prolongé, le corps s’essouffle et perd ses facultés naturelles à le réguler.
Des blocages énergétiques se créent qui, en s’accumulant, s’ancrent dans le corps tels des marqueurs et provoquent finalement des dysfonctionnements de toutes natures. Votre corps l’exprime d’une manière qui n’est en réalité que la partie émergée de l’iceberg : les symptômes. Ces « prétextes » sont le point de départ et vont nous aider à retrouver vos marqueurs pour remonter à la source originelle du sujet traité.